Bravo M Marin!

Le professeur de français se trouve enre les murs, entre les élèves qui ont des problèmes avec la langue et qui sont pas toujours bien élevés. Ces enfants sont des adolescents difficiles. Nous voyons en classe les représentants des nationalités differentes, mais ils sont d'une seule couche sociale. Ces enfants se sont habitués à montrer les dents et trouver l'allusion sur l’inégalité partout.

Vraiment la situation dans laquelle François (le prof) dois enseigner quelque chose de raisonnable, de bon, d'éternel ne suppose pas une fin heureuse. Surtout ça est devenu evident quand nous voyons de nos propres yeux les autres professeurs de cette institution. Ils sont compétents, je n’en doute pas,  ils sont des professionnels mais ils sont indifférents envers ses élèves et ils aiment resoudre des problèmes en se débarrassant d’eux. Et c’est seulement François, comme le rayon de la lumière dans un règne sombre, qui ne reste pas indifférent.

C’est  pourquoi M. Matin mérite la considération comme un professeur et comme un homme. Il tache de partager la vie entre les murs avec ses élèves et cela est digne de la récompense la plus haute.

Il y a une opposition intéressante entre François et ses collègues dans la situation avec Souleymane. Il sais très bien que le garçon est coupable mais il tache de le défendre.  Je ne peux pas dire que je pourrais faire comme ça. Souleymane est très difficile, et on ne peut pas justifier son acte. Vous pouvez imaginer quel niveau de la patience est dans le caractère de Frannçois s'il veut continuer à travailler avec cet élève?

Mais, même lui, il ne peut pas aller contre ces collègues et le directeur avec son "but éducatif" et, que dire,  ce but est juste, mais dans ce cas malheureusement  sous ce but éducatif est caché un autre but réel, c'est celui de rejeter le problème.

Malgré tous les qualités de François il aussi ne peut pas savoir une manière efficace de motiver et faire travailler des élèves  pour chaque cas. Cette manière existe bien sur mais elle n’est pas universelle, elle dépend de la situation. A vrai dire, à quoi bon il faudrait  apprendre le métier de professeur s ‘il existaient des choses universelles dans la pédagogie pour chaque situation concrète? On pourrait prendre un livre et donner des cours! Mais non, tout est plus embrouillé dans notre vie.

Ainsi il faut dire "Bravo!"  à François comme à un professeur, un écrivain, un metteur en scène et un acteur.

Le sujet de l’école est très populaire maintenant, et ce film est une bonne acquisition du monde du cinéma social. C’est un film à la limite du documentaire et de la fiction mais tout de même c’est la fiction avec les éléments d’une pure réalité, et c’est assez pour pénétrer dans le système complexe de la scolarisation.

Posté par Anastasia Chirkova