La patience du professeur

Le film que j’ai regardé a pour titre « Entre les murs ». Pour moi ce film était assez intéressant car son sujet concerne l’enseignement. Ce sujet est de la fiction, mais il se fonde sur la vie réelle. Les acteurs sont de vrais professeurs du collège. Et cela aide de sentir l’ambiance « entre les murs » de  cet établissement.

 Des actions principales se passent dans un collège parisien où les héros principals sont des professeurs et des collégiens du milieu social difficile. Ces derniers sont des enfants des immigrants ou ceux qui ont des problèmes.

Le sujet du film est imaginaire, mais il se fonde sur la vie réelle. Les acteurs sont de vrais professeurs et collégiens. Et cela aide de sentir l’ambiance « entre les murs » du collège.

François Martin est professeur de la langue française et il travaille au collège il y a quatre années. Ce personnage me plaît en tant qu’un homme et en tant qu’un professeur. D'un côté il est amical et communicable avec ses colllègues. D'autre côté il est patient et ingénieux avec ses collégiens. Je pense que François aime son objet (il sait expliquer toutes les finesses de la langue). Il aime enseigner aux enfants (il s’intéresse vraiment à ses éléves et il tâche de trouver une méthode à chacun).

Je trouve que M. Martin a trop de patience. Il protège souvent les éléves devant les autres. Il défend même Souleymane qui se conduit d'une manière provocante. Quand il s’agit de l’exclusion de Souleymane, le professeur prête l'oreille aux opinions d’ une camarade de classe et de mère de Souleymane. Et François l’aide à rester au collège.

Quant à la langue du film, il en existe beaucoup de mots argotiques « daron(onne) », ceux familiers « pote », ceux populairs « pétasse », ceux vulgaires « être en rut », le verlan « céfran » et à la fois ceux normatifs « succelent » mal compréhensibles pour ces collégiens. Ces phénomènes lingvistiques deviennent l’objet de la discussion entre les éléves et leur professeur. Et cela provoque ces éléves à rire bien souvent. Mais François ne se perd pas et il l’ironise.

Les plusieurs des éléves ne veulent pas du tout travailler. Ils ne comprennent pas pourquoi ils doivent parler français correctement. A mon avis c’est très difficile et presque impossible de les motiver. Mais M. Martin le réussit à peu près parce qu’il en a du talent.

Posté par Eugénie Klimëntovskaïa 

Comments

[Anna Pletneva]

c'est un bon titre, ca! tu as bien choisi