"dans la peau du hérisson"

Dans la peau du hérisson

  Certains gens cachent ses sentimens, ses pensées, parce qu̒ils ont peur être blesses par d̒autres dans ce monde cruel, le monde de l̒incompéhension, de l̒envie et parfois de la disapprobation. C̒est pourquoi ces gens deviennent fermés,  indifférents. Ils sont comme des hérissons. Ils pensent que vivre comme hérisson est plus léger. Mais comment peuvent-ils trouver des amis, une personne aimée? Les gens pareilles vouent eux-même à la solitude, même dans la foule.

   Le personnage principal du roman “ L̒élégance du hérisson” de Muriel Barbery Renée se sépare de tout le monde. Elle est peu marquante, ne pas jeune, sa vie est monotone. Elle se cache sous le masque d̒une femme sombre, silencieuse, rustaude. Mais, en effet, elle est une femme qui veut aimer et être aimée. Renée est intelligente, érudite, une aimable causeur. C̒est très étonnant. Il était agréable de la voire heureuse, tout s̒est arrange dans sa vie mais le destin de Renée est tragique. Elle a périé à la fin du film. Dans ce film on peut trouver encore “un hérisson”. C̒est Paloma. Elle est aussi solitude, fermée et plongée dans ses pensées. Elle est raisonnable, pleine d̒esprit et curieuse. C̒est un enfant extraordinaire mais malheureuse. Paloma pense à la mort , elle veut se tuer pour prouver quelque chose à ses parents, qui sont indifférent envers elle, pour ne pas voir des gens de la haute société qui l̒entourent. Elle en a assez. L̒auteur nous montre la vérité de la vie, parfois triste, injuste, pleine de surprises. Ces deux personnages ( Paloma et Renée) de Barbery sont un peu pareilles. C̒est pourquoi elles se sont liées. Et la mort de Renée a sauvé Paloma. Elle a compris que la mort est une tragédie, il faut vivre, la vie ne se rèpéte jamais.

  Le style marquant de l̒auteur s̒est manifesté même dans l̒extrait que j̒ai lu. En caracterisant les élèves du collège Barbery dit de bons mots, par exemple:  “Mes camarades de classe se défoncent à l̒ecstasy comme on gobe des Mickoko…” C̒est un peu ironique. Elle emploie beaucoup de mots familiers comme “ ado”, “gosse”, “bobo”, “se shooter”, “coq de la classe”, etc. Les phrases ne sont pas très longues. L̒auteur utilize des questions comme “ Vous pensez que je divague?” ou “ Vous pensez que je suis mèchante?”  C̒est comme elle parle aux lecteurs. Ses phrases sont courtes, on peut dire “ mordantes”. Le texte produit une impression un peu désagréable mais en même temps il est costique et il nous fait réfléchir sur les problèmes élevés. Je pense que M. Barbery diffère les auteurs classiques français. Elle a son propre style, sa propre vision du monde, et la langue de son œuvre exprime cela.

Rononova Eugenie