Qui est un hérisson?

Qui est un hérissson? Un être gentil avec des piquants et une réaction excellene aux irritants. Oui, bien sûr mais parfois des gens se comportent comme ces petits animaux. Dans le roman de Muriel Barbery «L’élégance d’un hérisson» et son adaptation à l'écran nous voyons un cas pareil.

Deux personnages principaux font partie des deux classes sociaux différents, elles ont des âges différents. Ce sont Paloma qui est la fille d’une famille rihe, elle est petite, intelligente et dépressive et René ou Madame Michel qui est une concierge d'un certain âge, seul et imperceptible.

Paloma réfléchit sur le monde entier et ne l'accepte pas, c'est pourquoi elle veut se suicider. La fille fait du cinéma et introduit dans son film René parce qu’elle trouve quelque chose élegant dans cette femme. Madame Michel préfère se cacher de tout le monde dans sa chambre où elle a une grande bibliothèque. Réné est un vrai hérisson qui est peureux et inoffensif. Paloma a aussi les traits du hérisson mais elle est au début de ce chemin.

En comparant ces deus personnages, l’auteur nous montre la diffenance entre deux classes sociaux mais il nous présente aussi quelque chose de commun - personne d’elles n’ont pas de bonheur. Ni la richesse de Paloma,  ni la solitude de René ne leur font pas de joie.

Mais que les empêche d’être heureuses? Peut-être qu'elles-mêmes?  René a peur de changer quelque chose et vivre autrement. Paloma a atteint à la destination finale comment elle préfère à penser. Et voilà les causes de nos malheurs - ce sont nous-mêmes et pas quelque chose d’autre.

Il faut attirer l'attention sur le style de l’auteur par lequelle il nous présente ses idées. Ce style donne l’impression de la chute absolue des mœurs. L’auteur ne se passe pas de la mention des simples vérites: «…un ado qui joue à l’ adulte reste quand même un ado»,  «..aimer ça ne doit pas être un moyen ça doit être un but». Ces moments et  les sujets de la chute sont des envois à la littérature classique française. C’est typique de critiquer la société mais ce sujet est toujours d'actualité. Avec des élements classiques l’auteur utilise l’argo (illico, se shooter, gosse, etc.), s'adresse aux lecteurs par des questions rhétoriques.

Malgré du sentiment de la chute dans l’ extrait, nous pouvons voir les espoirs sur le mieux. Le film les prouve, Paloma change son opinion après la mort de René, elle ne veut plus mourir. La mort est affreuse surtout quand la vie seulement commence. Il faut vivre même si quelqu’un est déjà mort, même si le monde est pas juste.

Posté par Anastacia Chirkova

Comments

[Eugénie Klimento]

Cette composison m’a plu beaucoup. Nastia pose des questios rithoriques qui font réfléchir. Et la conclusion est une philosophie de la vie.

[Anna Pletneva]

oui, c'est une belle pensee que les heroines ne sont pas heureuses, elle comprennent ce fait a la difference des autres habitant de la maison
l'analyse du style de l'oeuvre m'a plu bcp, c'est interessant