dismoidismots

Trois amis, Pierre, Jean et Philippe, ont décidé de faire les agapes dans l’appartement de l’un d’eux. C’est toujours accueillant de se réunir avec les amis à la maison et passer bien le temps dans l’entourage confortable en bonne compagnie. Pour passer leur temps gaiement (c’est bien pour cela qu’ils se sont réunis) ils se sont pourvu de l’alcool et de l’hors-d’oeuvre. Le temps passait, leurs provisions finissaient au fur et à mesure. Il fallait que quelqu’un aille au magasin. Mais eux-mêmes presque ils n’étaient pas en état de le faire. Alors ils ont décidé d’utiliser les réseaux de l’Internet (réseauter) pour on leur ait apporté à l’appartement ce qu’ils voulaient. Malheureusement c’était impossible. Alors une seule issue consistait à envoyer l’un d’eux pour une bouteille de vin. Les autres ne pas perdant le temps ont décidé de chanter. Il y en avait seulement deux, mais ils chantaient comme le choeur, en outre ce n’était pas harmonieusement. Les voisins qui ne pouvaient plus l’entendre à 3 heures du matin ont fait venir la police. Tout à coup l’éléctricité s’est éteint. A ce temps-là le complice de Jean et Pierre revenait du magasin avec la bouteille. Comme l’appartement était au rez-de-chaussée, Philippe a utilisé cette situation et a décidé de pénétrer dans l’appartement par la fenêtre. Ayant entendu quelque bruit et fracas qui étaient plus forts que leur chant, Pierre et Jean ont cessé de chanter, ils ont allumé des allumettes et se mouvaient vers la source du bruit abattant tout sur leur chemin. Puis ayant vu un homme qui pénétrait dans l’appartement (ils n’ont pas vu le visage dans l’obscurité) ils ont cru que cet homme voulait cambrioler. Ayant vite compris que c’était un “voleur” (comme ils croyaient) les deux amis ont commencé à agir. Pierre tenait par la main ce “voleur”, et Jean cherchait longtemps et obstinéement au balcon le fil de fer pour lier le “bandit”. Cela lui a valu beaucoup d’efforts, de bleus et d’égratignures, mais avec le fil de fer il est revenu à Pierre qui, semblait, de dernières forces, mais tout de même continuait à tenir le “criminel” malgré ce que celui-là résistait, criait quelque chose et tentait de prouver quelque chose. Mais ce qu’il criait ne faisait rien pour eux, ils étaient convaincus qu’ils ont saisi le voleur. Tout de suite la police est venue. Les deux amis étaient étonnés d’une telle efficacité de la police, lui ont donné le “criminel” et ont promis qu’ils ne feraient plus du bruit. Après que la police est partie, Pierre et Jean se sont étonnés pourquoi Philippe n’ était pas encore revenu. “Très étrange”, - pensaient-ils. La pensée d’aller le chercher en telle obscurité leur a semblé très manquée. Ils sont restés à la maison et se sont endormis tout de suite. Le matin suivant-là, sans avoir vu leur ami, mais ayant trouvé la bouteille cordée sur l’appui d’une fenêtre ils ont compris tout, sont allés à la police et ont réglé l’affaire de son ami. Et dans le plus bref délai ils ont décidé de ne plus organiser de telles agapes. Anna Krovekova